Dé civilisation ?  Non, M. le président !  sauvagerie meurtrière !!!

Dé civilisation ? Non, M. le président ! sauvagerie meurtrière !!!

Le Littré définit ainsi le néologisme « dé civilisation », utilisé par Macron lors du Conseil des Ministres du 24 mai :

« détruire ou porter atteinte à la civilisation »

Nous avons effectivement été gâtés depuis, avec les émeutes et les pillages de juin !

Ce qui se passe en France depuis quelques années (mais c’est pire encore depuis l’arrivée de Macron à l’Elysée) est manifestement une atteinte caractérisée à la civilisation française voire même occidentale.

Mais, Dieu merci, il existe encore en France et en Europe une majorité de citoyens normaux (oui, je dis bien « normaux », car il existe des normes dans une société, n’en déplaise aux wokistes, anarchistes et autres gauchistes), des citoyens normaux, dis-je, et de bon sens, aimant leur Patrie, leur Histoire et leur Culture, et bien décidés à ne pas se coucher , * courber l’échine et se laisser détruire par des barbares sanguinaires ainsi que par leurs complices et collaborateurs.

Depuis des décennies, les gouvernements successifs, largement soutenus et aidés par les médias, les courants islamo-gauchistes, les associations immigrationnistes et la bienveillance coupable de la Justice et du Syndicat de la Magistrature, ont vainement tenté de cacher la poussière sous le tapis.

Avec la propagande vicieuse « vous n’aurez pas ma haine », des exigences comportementales « il ne faut pas stigmatiser » ou des mensonges caractérisés « la France a toujours été un pays d’immigration », « l’immigration est une chance pour la France », etc…

Un coup de chapeau en passant au démographe officiel du régime, Hervé le Bras, qui a tout fait pour cacher ou travestir une bonne partie de ces vérités gênantes.

Et, comme toujours en cas de laxisme face à l’inacceptable, la situation n’a fait que se dégrader.

Je voudrais juste, à la lumière d’un drame qui n’a été révélé par les médias que ce dimanche matin, montrer de quel côté vient la « haine », et avec quelle violence et quel  acharnement.

Les extrémistes partisans, du côté de la NUPES, argueront sans doute « qu’il y a toujours eu des cinglés » ; je laisserai nos lecteurs juger en conscience si de tels monstres peuvent être générés par notre culture… Et laissés en liberté.

Le drame se passe donc à Cherbourg, le 4 août (mais les médias ne seront bizarrement informés que 8 jours plus tard, le 12 août).
Une jeune femme d’une trentaine d’années rentre à son domicile, « avec le sentiment d’avoir été suivie », expliquera t’elle plus tard aux secours venus à son aide.

Un individu pénètre de force chez elle, la frappe au visage, la viole à plusieurs reprises en lui faisant subir un véritable martyre.

Les urgences qui l’accueillent notent – entre autres – une perforation de l’estomac, du péritoine, du diaphragme, de l’intestin grêle, et un pneumothorax. Et encore d’autres lésions, notamment dues à l’utilisation diabolique d’un manche à balai dans ses parties intimes…

Quelles cultures, dans l’histoire humaine, ont suscité un tel acharnement et de telles monstruosités ?

Le pronostic vital de la jeune femme, plongée dans un coma artificiel après une longue intervention, est évidemment encore engagé à l’heure où j’écris ces lignes.

Le personnel soignant, n’ayant jamais observé pareil carnage, a du être aidé et suivi par une cellule psychologique…

Ceux qui traitent la Droite Patriote de « fasciste » feraient bien de réfléchir à la violence d’un tel acte, qui rappelle un peu les bourreaux des camps nazis les plus abominables.

Un dernier « détail » : mis en examen, le présumé auteur des faits est « défavorablement connu des services de police ». Il a 18 ans et a été arrêté le 10 août au domicile de sa mère. Il a reconnu les faits du bout des lèvres après avoir été confondu par des preuves flagrantes (identifié sur les lieux par son téléphone et ses empreintes génétiques sur la victime).

Les informations sont désormais couvertes par le secret de l’instruction, mais en cherchant bien on sait que l’auteur (« présumé ») des faits se prénomme Omar N.

Des scènes aussi violentes sont peut-être encore rares. Mais on risque, hélas, d’en voir d’autres.

Cet Omar est majeur, il risque donc la perpétuité pour « viol accompagné de tortures ou d’actes de barbarie » (si toutefois il n’est pas considéré comme irresponsable au moment des faits par les psychologues qui vont l’examiner)…

Avec un bon avocat, et un peu de complaisance judiciaire pour sa future « réinsertion », il s’en sortira avec 20 ans, c’est-à-dire qu’il en fera 10 et qu’il pourra donc remettre le couvert à sa sortie. Il sera alors encore en pleine forme de ses capacités de nuisance.

Alors… Si la justice française bienveillante laisse finalement Omar recommencer dans 10 ou 12 ans ses petites manies, que peut-on faire ?

On ne va pas quand même pas rouvrir le bagne ? Bien qu’en Guyane à Saint Laurent du Maroni, les infrastructures soient encore solides, et l’ile du Diable gardée par les requins…

Mais non, ce n’est pas envisageable, il y a la Gauche, l’UE, l’ONU, les organisations humanitaires, tout ça… On est coincés…

Je ne vois pas de solution… Il faudrait un châtiment  exemplaire, non seulement pour punir le coupable mais aussi pour dissuader les autres impétrants potentiels tentés de passer à l’acte…

Non vraiment, je ne vois pas…

Si vous avez une idée, n’hésitez pas à nous la soumettre…

On transmettra le message à qui de droit…

Marc Le Stahler

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