10 000 migrants, originaires d’Afrique subsaharienne, ont débarqué sur l’île de Lampedusa

L’Italie fait face actuellement à l’une des pires crises migratoires de son histoire : en seulement quelque jours, plus de 10 000 migrants, originaires d’Afrique subsaharienne, ont débarqué sur l’île de Lampedusa.

Après que mon équipe ait vérifié la possibilité d’embarquer à la hâte dans le premier avion, je décide de me rendre sur place afin d’apporter mon soutien au peuple et au gouvernement italien, lâchement abandonnés par l’Union européenne.

Je réponds à la presse italienne

Dans quelques jours, ces migrants seront conduits en Sicile puis répartis dans toute l’Europe.

Au fil des discussions, nous constatons que l’immense majorité a le projet de se rendre et de s’installer en France ; beaucoup vantent la générosité du modèle social français et la promesse de ne jamais être expulsable du territoire national.

J’en suis convaincue : Lampedusa n’est pas seulement une île italienne, c’est aussi le poste frontière de toute l’Europe et particulièrement celui de la France. Si nous cédons là-bas, c’est l’Europe qui disparaîtra.

Mesurez bien le vertige de la démographie africaine : il y a plus de naissance chaque année au Nigéria que dans l’ensemble du continent européen.
Par conséquent, ce que nous appréhendons aujourd’hui à Lampedusa, n’est que le prémisse d’une submersion susceptible d’entraîner la disparition de notre civilisation.

Des migrants attendent d’être évacués vers la Sicile

À Lampedusa, les Italiens sont totalement abandonnés par l’UE et par le gouvernement français.

L’Italie doit, seule, gérer la frontière de l’Europe.

Ni l’agence Frontex, ni les pays destinataires finaux de ces flux de migrants n’ont levé le petit doigt pour venir en aide au gouvernement Italien.
Pourtant, c’est dans cette épreuve vitale que doivent être jetées les bases d’une authentique solidarité européenne.

Un bateau de migrants accoste sur l’île

C’est la raison de ma candidature aux élections européennes du 9 juin 2024 : faire basculer le centre de gravité politique de l’Union européenne, l’arracher aux artisans de l’impuissance et bâtir une politique de dissuasion migratoire inspirée de l’exemple australien: NO WAY! 

À partir d’aujourd’hui, nous avons 9 mois pour convaincre les Français qu’il est vital d’envoyer le maximum de députés Reconquête! au Parlement européen pour lutter contre la submersion et défendre notre civilisation.

À partir d’aujourd’hui, nous avons 9 mois pour empêcher que Lampedusa ne devienne le symbole de notre invasion.

Je compte sur votre détermination et votre mobilisation!

Marion Maréchal