Combattre… Tous ensemble… Et sur tous les fronts !

Nous nous demandons tous avec inquiétude comment la France va pouvoir s’extirper de l’ornière. La réponse est loin d’être évidente. Il est clair que les solutions traditionnelles (élections, grève générale, soulèvement populaire, voire putsch militaire, etc…) sont en général calquées sur des références historiques – récentes ou anciennes – qui pourraient nous inspirer pour mettre un terme à cette décadence tous azimuts que nous subissons avec tristesse et colère…

Hélas, les temps ont bien changé. On ne fait plus les guerres comme au siècle dernier. Ni les révolutions. Ni même les guerres civiles. D’ailleurs, nous y sommes déjà, et nous sommes nombreux à l’avoir compris. « L’insécurité », comme on dit encore avec pudeur, a désormais quitté les « quartiers » ; elle s’est insidieusement installée dans les grandes villes, puis dans les villes moyennes, en attendant de se répandre dans les campagnes quand la politique démentielle de répartition tous azimuts des migrants sera achevée.

Rien ne nous permet sérieusement pour l’instant d’entrevoir une espérance à court terme. Le système a bien été verrouillé. Il suffit d’observer le niveau affligeant des élus de l’Assemblée Nationale pour comprendre. Surtout ceux de la NUPES, évidemment. Là où, dans une république, se pensent, se forgent et se votent les lois, il n’y a que mauvaise foi, mensonges, violences, provocations, menaces et injures… En attendant les coups, qui ne vont pas tarder à survenir.

Le gouvernement n’est pas en reste. Aucune stratégie, aucune anticipation, on traite les problèmes quand ils surviennent, oubliant que les catastrophes se réduisent souvent à ces 2 mots : « trop tard ! ». « Gouverner c’est prévoir », disaient avec sagesse les Anciens… On en est bien loin. On ne prévoit rien, ou plutôt on prévoit mal. Très mal.

Un jour on décide de sortir du nucléaire et on commence à fermer les centrales nucléaires, industrie qui était l’un de nos plus beaux fleurons… pour les remplacer par des leurres (du vent). Un jour, intoxiqués par quelques olibrius qui ont décidé que « la maison brûle » et qu’il n’y aura pas de « Plan B », on annonce la fin prochaine des véhicules « thermiques ». « Plan B ». Ca leur plait bien, cette expression, aux écolos, vous avez remarqué ?

Et puis, bien sûr, il y a l’immigration. Le repeuplement. Toute la mauvaise foi d’une classe politique incapable, soutenue par des associations gauchistes et subventionnées. Les Français font moins d’enfants ? Qu’à cela ne tienne… Ouvrons les frontières et on les remplacera pas des petits africains, de plus en plus nombreux, surtout depuis que l’horrible colonisation a drastiquement réduit la mortalité infantile. Il faut bien qu’ils trouvent un abri, les pauvres, d’autant qu’ils vont bientôt manquer d’eau et crever de chaud avec le réchauffement climatique ! Tout se tient.

L’ennui, c’est que ces braves petits Africains, intoxiqués par la propagande des passeurs d’esclaves, sont surtout attirés par les promesses d’une vie facile et d’allocations diverses… Le Paradis européen… Ce qui ne les empêche pas de haïr la France, puisqu’on leur a seriné que leur misère était due à la colonisation, et que notre pays avait pillé les leurs. C’est en quelque sorte une revanche, un dû. Et si quelques uns de ces clandestins, un peu plus courageux à défaut d’être responsables, acceptent de travailler sans être déclarés pour des entreprises sans scrupules, ça ne réglera pas l’adéquation de l’offre à la demande d’emploi mais ça fera mécaniquement baisser les salaires. Effet économique inévitable que sont incapables de comprendre les indécrottables crapules de LFI…

Quant aux médias – CNews excepté – ils ne donnent plus d’informations, mais nous expliquent comment penser. Essayez donc de soutenir que le réchauffement climatique d’origine anthropique est sans doute un leurre, ou que la Russie est un grand peuple que l’Europe, aurait bien été inspirée de ne pas s’aliéner après l’implosion de l’URSS, ou encore que Trump a finalement été (et sera peut-être à nouveau) un bon président pour son pays…

Oui, nous sommes en démocratie, officiellement, mais à condition de penser comme il convient.

L’Education n’est pas en reste. Un grand merci à Pap N’Diaye qui a fait tout son possible pour en détruire ce qui restait, et y insuffler le bon air wokiste venant d’outre-atlantique. A l’entrée en 6^ème, nos enfants ne savent pas lire correctement, ni écrire, ni compter, mais sont déjà imprégnés de wokisme, se posant des questions existentielles sur leur sexe et celui de leurs copain-ine-s (voilà que je me mets aussi à l’inclusivité) !

Entre l’Education Nationale et l’Information, tout est fait pour formater les cerveaux. Espérons que Gabriel Attal, qui semble avoir pris la mesure du dossier, continuera d’œuvrer pour détruire rapidement et drastiquement tout le mal qu’a fait son prédécesseur le sinistre Pap N’diaye. Et qu’il saura remettre au travail le Mammouth, pour qu’on n’entende plus ces inacceptables excuses, proférées par le rectorat de Versailles pour tenter de justifier son odieuse réaction après le suicide de Nicolas (« nous étions en vacances ») !

En fait, il n’y a pas pour l’instant de solution miracle. C’est un combat de chaque instant, que nous devons mener, tous, et sur tous les fronts !

Minurne – Résistance
est partenaire co-fondateur
avec le Général Christian Piquemal de l’

OBSERVATOIRE DU RISQUE GENOCIDAIRE (ORG)