Extrême-droite ? Non, Français

Extrême-droite ? Non, Français

Je suis Français, j’aime la France, c’est MON pays et je fais ce que je peux pour défendre l’idée que la France doit retrouver sa dignité, sa souveraineté, sa liberté et revenir à une véritable démocratie, celle que nous confère les textes fondateurs de la République.

L’abruti qui osera me traiter d’extrémiste de droite devra venir me le dire en face à face pour que je lui explique que mon pays m’appartient et que toute racaille qui s’y attaque n’a rien à y faire. Qui n’aime pas la France dégage loin, très loin.

Nous ne pouvons que nous en réjouir pour la famille du policier

Mort de Nahel : la cagnotte du policier dépasse le million d’euros, la Nupes scandalisée
En savoir plus sur RT France.
https://francais.rt.com/france/106175-mort-nahel-cagnotte-policier-depasse-million

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Cela rappelle une nomination de Garde des Sceaux il y a quelques années qui s’est empressé de visiter des détenus dans une prison. Quant aux victimes …..

Les émeutiers interpellés reçoivent des visites de députés LFI, l’extrême gauche refuse d’appeler au calme.
https://www.epochtimes.fr/les-emeutiers-interpelles-recoivent-des-visites-de-deputes-lfi-lextreme-gauche-refuse-dappeler-au-calme-2357607.html?utm_medium=email&utm_campaign=daily&utm_source=dailymail

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Défendre son pays est de la responsabilité de tout citoyen qui l’aime.

Face aux émeutes, des citoyens français ont voulu aider la Police, LFI accuse l’extrême-droite «A Lorient, la police laisse faire une milice de membres de l’extrême-droite» a tweeté le 3 juillet Mathilde Panot, députée LFI (La France Insoumise).
La raison de son indignation ? Dans cette ville du Morbihan, le 30 juin, des groupes d’individus s’en sont pris aux pillards et émeutiers, les maîtrisant de manière parfois musclée et les menottant à l’aide de serre-flex. À Lorient, la police laisse faire une milice de membres de l’extrême-droite. Cagoules, gants coqués, arrestations de gens avec violence, ensuite remis avec des serre-flex à la police.
 @GDarmanin vous n’avez rien à dire ? Une enquête doit être immédiatement lancée et les… https://t.co/QjCUHhCthy—; Mathilde Panot (@MathildePanot) July 3, 2023
Ceux qui se présentent comme une «brigade anti-casseurs» ont en tout cas fait preuve de détermination. D’allure sportive, capuche sur la tête et tour de cou remonté sur le visage, ils sont intervenus en groupe, éteignant un départ d’incendie et immobilisant plusieurs individus qu’ils ont remis aux autorités. «On a laissé faire en début de soirée, parce que ça nous a soulagés», a confié une source policière anonyme au Télégramme. La même source précise toutefois qu’en fin de soirée, les forces de l’ordre ont décidé de disperser ce groupe, «se rendant compte qu’ils y allaient un peu fort». Lorient abrite une base navale où stationnent des fusiliers marins et des commandos marine, mais la Forfusco (Force maritime des fusiliers marins et commandos), a répondu au Télégramme n’avoir pas «eu vent de ce genre d’action au sein de nos jeunes ou moins jeunes». Les faits méritent-ils l’«enquête» que réclame Mathilde Panot ? Ce qui est sûr, c’est que leurs agissements sont prévus par la loi, l’article 73 du code de procédure pénale prévoyant que «dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche». A Lorient, le groupe anticasseurs a «soulagé» la police
Si la « brigade anti-casseurs » de Lorient n’a revendiqué aucune appartenance politique, ce n’est pas le cas d’autres groupes qui ont affronté des émeutiers. A Angers, le week-end a été très agité autour du local du RED (Rassemblement étudiants de droite), une association qui s’inscrit dans la lignée de l’Alvarium, un groupe qualifié de droite radicale et dissout par Gérald Darmanin en 2021. Vendredi 30 juin des membres de ce groupe s’en seraient violemment pris à des participants à une manifestation interdite contre les violences policières. Certains d’entre eux auraient été reconnus, armés de batte de base-ball, en train d’agresser les participants au rassemblement. Selon le RED, ses militants n’auraient fait que défendre leur local, alors qu’ils voyaient «un blackbloc ultra-violent d’une centaine d’individus s’approcher en scandant des menaces (« on va vous tuer »)». Dans le cadre de ces violences, les autorités ont procédé à une perquisition dans les locaux de l’association, le 3 juillet au matin. Le reste du week-end, le local du RED a été pris pour cible par des groupes d’émeutiers. On peut voir dans des vidéos tournés par les riverains que les occupants du local, protégés par des boucliers improvisés faits de planches de contreplaqué et armés de manches à balai, repousser les assaillants. « Français tu es ici chez toi »
Après Angers hier une milice de nazis défile à Chambéry avec l’objectif de mener des ratonnades. L’extrême-droite raciste surfe sur la complaisance du pouvoir pour mener des actions violentes et déverser sa haine raciste. Ne laissons pas faire. pic.twitter.com/CtCij3nKMc—;
Thomas Portes (@Portes_Thomas) July 1, 2023 A Chambery, le premier juillet au soir, un groupe d’une vingtaine d’individus s’est rassemblé au cri de «Français réveille-toi, tu es ici chez toi ! ». Selon Mediapart, « Il s’agirait notamment de militants du groupe d’extrême droite Edelweiss Pays de Savoie. » Un compte-rendu de cette action publié par les auteurs du rassemblement sur Telegram mentionne «des affrontements» et vante «la racaille au tapis […] les nationalistes plus efficaces que la police», selon Libération. Scènes similaires à Lyon, le 2 juillet, où plusieurs vidéos montrent des attroupements de quelques dizaines de personnes scandant «Bleu-blanc-rouge», «La France aux Français », «On est chez nous». Cette manifestation n’a cependant pas donné lieu à des affrontements avec les émeutiers. Elle a en revanche été dispersée par la police, qui a notamment utilisé des gaz lacrymogènes. Des français racistes qui défendent leurs biens au Katana pic.twitter.com/2xuk5paOB4—; Push The Push Button 🚨 (@Saulgoo31316993) July 2, 2023
On constate aussi que de simples citoyens tentent de défendre leurs biens, comme ces deux individus filmés à Metz, patrouillant autour de leur véhicule, armés de… katanas. De son côté, le gouvernement français s’est voulu rassurant. Emmanuel Macron s’est dit le 4 juillet «très prudent» sur le retour au calme après plusieurs nuits d’émeutes en France, mais il a jugé que «le pic» était «passé», devant quelque 250 maires de villes touchées par les violences et reçus à la présidence. Source
RT News France

Soutenir de telles actions c’est agir contre la France et indigne de la part d’un élu de la République.

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