Pseudo-vaccins anti-covid : vers un “génocide doux” à l’échelle mondiale

Pseudo-vaccins anti-covid : vers un “génocide doux” à l’échelle mondiale

L’expression « génocide doux » (« soft genocide » en anglais) est d’Henry Kissinger (photo, état actuel…). C’est en ces termes que le diplomate américain proposait, dans les années 70-80 du siècle dernier de traiter le problème de la surpopulation mondiale que Paul Ehrlich, à l’époque professeur de biologie à l’université Stanford avait popularisé grâce à la publication en 1968 de son livre La Bombe P

Ce livre, qui prédisait que la prolifération démographique mondiale conduirait nécessairement à l’apocalypse, avait connu un succès considérable.

A quelle occasion (conférence ? article de presse ? interview ?), le plus froid des monstres froids de la diplomatie américaine a-t-il parlé de « soft genocide », j’avoue ne pas m’en souvenir, et Internet reste étrangement muet sur la question. Chers lecteurs qui cultivez la mémoire au long cours, merci de me venir en aide en commentaire…

Il est vrai que les occasions n’ont pas manqué à « Dear Henry » de parler de génocides, étant donné que le plus « long » secrétaire d’Etat de l’histoire américaine – et éminence grise des présidents NixonFordReagan et dans une moindre mesure G. W. Bush (qui l’a quand même nommé membre de la commission d’enquête sur les attentats du 11 septembre…) – a lui-même beaucoup pratiqué la chose.

Mais il s’agissait de génocides sanglants, « hard », et non « soft »…

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Une citation de « Dear Henry » parcourt actuellement les réseaux sociaux :

« Une fois que le troupeau a accepté la vaccination obligatoire, la partie est gagnée ! Ils vont alors accepter n’importe quoi, “pour le plus grand bien”. On pourra modifier génétiquement les enfants ou les stériliser – “pour le plus grand bien”. »

Mais la presse de l’oligarchie nous jure ses grands dieux qu’il ne s’agit que d’un fake, que le doux, le bon, le charitable, le généreux, le philanthrope Doctor Kissinger, est incapable de penser de pareilles horreurs, et encore moins de contribuer à les mettre en œuvre…

Pourtant, cette citation – plus vraie que nature – ne fait finalement que donner consistance à ce que le Prix Nobel de la Paix 1973 – sans blague… Son compère dans l’abject, le communiste Lê Dùc Tho, a au moins eu la décence de décliner le Prix… – exprimait par « soft genocide ».

N’oublions pas que Kissinger est membre dirigeant – actif autant que le lui permettent ses 98 printemps… – de la Commission trilatérale, du Club Bilderberg, de l’Institut Aspen, du Bohemian Club, du Center for Strategic and International Studies et du Council on Foreign Relations. Excusez du peu.

Bref, un mondialiste pur porc qui n’hésiterait pas à remplacer une masse d’humains incontrôlables par des robots d’une absolue servilité, au profit de l’ « élite mondiale » – quelques dizaines ou centaines de millions d’individus à tout casser.

Qualifier Heinz Alfred Kissinger – il a troqué « Heinz Alfred », trop germanique, pour « Henry » en arrivant aux Etats-Unis en 1938  – de « pur porc » n’est en rien une insulte à la judéité du bonhomme, bien connu pour ses saillies antisémites. Sa deuxième épouse n’est d’ailleurs qu’une vulgaire shiksa

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Comment définir un génocide « doux » ? Un génocide qui tue massivement – forcément massivement – mais de manière non sanglante…

Les émules de « Dear Henry » ont beaucoup cherché, et ont fini par trouver : un bon petit virus assis sur une bonne ingénierie sociale – gouverner par la peur et la dissonance cognitive – fera parfaitement l’affaire.

Parmi les effets secondaires :

des actuels « vaccins » anti-covid (le terme « vaccins » est mensonger, comme on le sait) , il en est un qui retient peu l’attention, alors que pour les eugénistes qui nous gouvernent, il est essentiel : c’est celui de la fertilité de l’humanité. Mais les médias de l’oligarchie sont formels : encore une fake news propagée par des complotistes ! Voire…

Selon une étude d’avril dernier du New England Journal of Medicine (NEJM), (étude déréférencée du net depuis quelques semaines), une femme enceinte présente 82% (104 avortements spontanés sur 127 femmes) de risque de perdre son bébé à la suite d’une « vaccination » anti-covid.

Un risque qui s’élève à 94% si la femme se fait vacciner pendant les 13 premières semaines de grossesse : 96 sur les 104 avortements spontanés (de l’étude), ont eu lieu avant 13 semaines de gestation :

Une femme enceinte de moins de 13 semaines a donc plus de 9 « chances » sur 10 de perdre son enfant si elle se fait vacciner.

Par ailleurs, la protéine spike, à l’œuvre dans la technique de l’ARNm des pseudo-vaccins, pullule chez les personnes vaccinées, avec le risque d’endommager leurs organes génitaux et donc de provoquer leur stérilité. Les hommes vaccinés risquent donc également d’être frappés de stérilité.

On rappellera que le zinc – si décrié par les « médecins de plateaux télé » payés par les gros labos pour vendre la vaccination au bon peuple maintenu en état de sidération mentale par la presse aux ordres – est indispensable à la spermatogénèse

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Voici les références de cette étude publiée par le NEJM, intitulée « Preliminary Findings of mRNA Covid-19 Vaccine Safety in Pregnant Persons » (Résultats préliminaires de l’innocuité du vaccin à ARNm Covid-19 chez les personnes enceintes) :

2021 Apr 21, doc 10.1056/NEJMoa2104983

PMCID : PMC8117969

PMID : 33882218

Si elle a bien été déréférencée du net, on remarquera que ses conclusions n’ont fait l’objet d’aucune contestation dans le monde fermé des scientifiques de haut niveau.

Rien à voir avec la pseudo-étude publiée en mai 2020 par The Lancetcensée « prouver » la toxicité de l’hydroxychoroquine, un médicament utilisé dans le monde entier depuis plus de 70 ans, sans effet secondaire notable…

Comme l’a montré le Pr Didier Raoult :

l’étude publiée par The Lancet était bidonnée de bout en bout (les « relecteurs » de la revue se sont manifestement laissés soudoyer par une grosse firme pharmaceutique qui entendait placer son produit, vraisemblablement Gilead et son Remdesivir inefficace et couteux…).

Ce qu’on appelle désormais le « Lancetgate » montre que recherche scientifique et puissances d’argent font parfois (souvent ?) bon ménage…

Dans une autre de ses vidéos, le Pr Raoult insiste sur le degré de corruption qui règne à tous les étages de la recherche scientifique.

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