Chers compatriotes,
En août 2011, face aux menaces terribles planant sur la France, nous avons créé « Minurne », espace libre d’information et de débats visant à lutter contre la désinformation et l’intoxication pratiquée par les médias aux ordres de la bien-pensance et du politiquement correct. Pour reprendre plus précisément les termes du projet éditorial, Minurne publie des « articles politiques, sociaux et sociétaux, libres réflexions et commentaires sur l’actualité politique et économique, sans dogmatisme ni idéologie, ni autocensure ».
Nous souhaitons, par ce communiqué, apporter quelques précisions utiles, et répondre à la question qui nous est souvent posée : « Qui est Minurne-Résistance ? »
QUI EST « DERRIÈRE » MINURNE-RÉSISTANCE ?
Derrière L’Humanité il y a le patronat (son plus gros actionnaire) ; derrière Libération, c’est le groupe Rothschild ; derrière Le Monde sévissent Matthieu Pigasse de la banque internationale Lazard et Xavier Niel, milliardaire, Free, Wikipedia…
Derrière Minurne, il n’y a aucun groupe financier, quel qu’il soit. Et pour préserver cette liberté, Minurne n’accepte aucune publicité, toujours porteuse à terme d’obscures influences comme on les observe dans tous les organes de presse précités. Minurne, ce sont des patriotes aux sensibilités politiques nuancées mais affirmées, à l’esprit libre et critique, qui ont en commun une longue expérience des rapports économiques et sociaux, tant en France qu’à l’étranger. Ils ont pour principes de dire ce qu’ils pensent et de dénoncer tous les menteurs qui, par idéologie et plus souvent encore par carriérisme, trompent ou tentent de tromper les Français. Ce qui leur a valu beaucoup d’ennemis et bien des coups bas de ceux que gêne leur franc-parler.
DÉFENDRE LES DROITS DE NOTRE PATRIE
Le peuple français a les mêmes droits – pourtant contestés par la gauche internationaliste – que tous les autres peuples du monde de défendre son identité, sa culture et sa civilisation qui a été et reste l’une des plus brillantes que le monde ait connu. Incontestablement celle qui a le mieux contribué à réduire la misère (les statistiques des organismes internationaux sur la faim, la pauvreté et les conditions sanitaires en témoignent), à promouvoir l’égalité entre les citoyens ainsi que la tolérance politique, philosophique et religieuse. De nombreux pays se sont d’ailleurs largement inspiré, pour leurs propres institutions, des législations, règlements et codes élaborés par la France depuis Napoléon. De ce droit de défendre notre identité de Français découle légitimement celui de protéger notre pays de la régression considérable qu’est l’intrusion massive sur notre sol d’immigrants porteurs de cultures et de religions très éloignées des valeurs que nous avons mis des siècles à construire et à préserver.
DÉFENDRE L’IDENTITÉ ET L’INTÉGRITÉ DE LA FRANCE
Les tribus gauloises, divisées, n’avaient pas su résister à la colonisation romaine. La France construite par ses rois a repoussé les envahisseurs asiatiques ou, étant alors le pays le plus peuplé d’Europe, a réussi à les assimiler quand ils étaient peu nombreux (Wisigoths, Vandales, Burgondes…). Elle a durablement repoussé les Arabes musulmans. Puis la République a contenu les agressions étrangères, des guerres de la Révolution jusqu’aux Nazis, et ce malgré la trahison des communistes, ardents défenseurs du pacte germano-soviétique en 1939, et la forfaiture des socialistes votant les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain un an plus tard.
La France est aujourd’hui confrontée à une arrivée massive, parmi d’autres migrants, d’Africains musulmans qui montrent par leur comportement qu’ils n’ont aucune intention de s’intégrer, mais seulement de profiter des largesses sociales de la République.
Comme toutes les autres, cette invasion-là sera repoussée.
(RE)CONSTRUIRE L’EUROPE DES PATRIES
Malgré certaines spécificités nationales, la France partage avec les autres peuples d’Europe des coutumes, des traditions, des goûts, un style de vie, une culture commune et le sens de la démocratie. L’Europe fut d’abord institutionnalisée en « Communauté » par des visionnaires (Charles de Gaulle, Konrad Adenauer, Jean Monnet), puis en « Union » après l’effondrement de l’empire soviétique. Depuis, ce continent, qui fut constamment déchiré par les guerres pendant deux mille ans, connaît enfin la paix.
Mais l’Europe est aujourd’hui, comme la France, malade de son administration pléthorique, tatillonne, inefficace, tyrannique, coûteuse et de surcroît dirigée par une prétendue « élite » technocrate incompétente, sclérosée et qui plus est illégitime puisque non élue. Il s’agit donc de réformer la gouvernance de l’Europe (comme, d’ailleurs, celle de la France), ce qui ne constitue pas une raison de la quitter. « On ne doit pas jeter le bébé parce que l’eau du socialisme dans lequel il baigne est sale » a dit fort justement Jean-Marie Le Pen.
LE SOCIALISME, C’EST FINI !
Les idéologies de gauche (communiste, trotskiste, socialiste), ont les apparences séduisantes de justice sociale et d’égalité. Hélas, comme l’a dit Fidel Castro le 10 juillet 2010, « le socialisme, ça ne marche pas, même chez nous » (The Atlantic). (1) Ces idéologies sont obsolètes, socialement et politiquement dépassées.
Chinois, Vietnamiens et bien d’autres ont eux aussi renoncé à l’économie socialiste pour entrer dans l’ère de la prospérité que la France, elle, décidait de quitter en 2012 en portant au pouvoir les socialistes et à la présidence un incompétent notoire. Près d’un siècle après 1917, la France est en train de devenir une “démocratie populaire” !
QUE FAIRE ?
Pour retrouver la prospérité après le départ des parasites socialistes, des réformes structurelles touchant en premier lieu les institutions, l’indépendance nationale, l’organisation économique, la fonction publique et le syndicalisme seront indispensables. Mais ne nous leurrons pas : ces réformes fondamentales ne seront acquises qu’au prix de graves troubles sociaux. Les fonctionnaires et les syndicalistes professionnels ne se laisseront pas priver de leurs privilèges sans réagir violemment, d’autant qu’ils auront le soutien d’une grande partie des journalistes de la médiacratie, eux aussi arc-boutés sur leurs avantages financiers, matériels et fiscaux, et des politiciens de carrière qui refuseront que leurs gros salaires et les avantages en nature considérables qu’ils se votent sans aucun contrôle soient remis en cause. Certains patriotes, révoltés et ulcérés par l’effondrement de la France, considèrent que le temps n’est plus à la parole mais à l’action, et nous exhortent à quitter notre rôle de « ré-informateurs » pour « passer à l’action ». Mais précisément, en mobilisant les esprits pour une véritable révolution patriote et sociétale, nous œuvrons dans le sens de cette transformation qui se prépare, dont nous ne maîtrisons pas, hélas, la chronologie, mais dont tous les observateurs avertis s’accordent à considérer qu’elle est imminente.
Nous sommes aussi de farouches défenseurs de la liberté d’opinion et d’expression. C’est pourquoi nous avons toujours laissé nos lecteurs s’exprimer librement, sans autre obligation que le strict respect de la Charte de Minurne (voir en page d’accueil), en évitant notamment les injures et les propos racistes et xénophobes. Mais nous sommes bien obligés de constater parfois des dérives dans certains commentaires qui sortent des débats et de la critique, pour déborder parfois sur des conflits personnels entre lecteurs. Sans oublier la propagande outrancière, peu ou mal argumentée, pour des partis politiques dont les programmes, tout en étant respectables, doivent pouvoir, comme tous les autres, être analysés et critiqués.
APPEL À TOUS LES PATRIOTES, QUELLE QUE SOIT LEUR APPARTENANCE POLITIQUE
Minurne–Résistance n’est inféodé à aucun parti politique. Ceci est précisé en page d’accueil, rappelé en toute occasion, et malgré certaines accusations émises ici et là dans les commentaires, nous nous tenons fermement sur cette ligne éditoriale. Ce ne sont pas les partis qui reconstruiront la France, mais les Français eux-mêmes, en reprenant le pouvoir qui leur a été confisqué par l’énarchie. En mobilisant militants, sympathisants, partisans, abstentionnistes, déçus de la politique, nous voulons participer au redressement de la France en élisant et faisant élire ceux et celles qui se proposent de défendre avec courage, probité et dévouement les intérêts suprêmes de la Patrie. Et ce, quelles que soient leurs familles et sensibilités politiques.
LE SALUT DE LA FRANCE EST DANS l’UNION DES PATRIOTES ! DE TOUS LES PATRIOTES !
C’est-à-dire de tous ceux – ils sont de plus en plus nombreux – qui ont compris que la France ne pouvait plus se satisfaire de demi-mesures, et qu’elle devait maintenant RECONQUÉRIR son INDÉPENDANCE, sa LIBERTÉ D’ACTION ÉCONOMIQUE et POLITIQUE, ASSURER LA PROTECTION SANS FAILLE DE SES INTÉRÊTS VITAUX et en premier lieu de son IDENTITÉ NATIONALE.
UN NÉCESSAIRE “CODE DE BONNE CONDUITE” ENTRE PATRIOTES
Nous nous opposons donc tout autant à la diabolisation du RN, aux procès d’intention et aux accusations sans fondement proférées à l’encontre de ses dirigeants et militants qu’à la mise au pilori des autres partis – à commencer par LR – opposés au pouvoir écolo – socialiste.
NE NOUS TROMPONS PAS D’ENNEMI !
Cessons de nous déchirer : nous sommes de la même famille ! Celle qui veut transmettre à ses enfants une France vivante et rayonnante, encore plus forte et plus belle que celle qu’elle a hérité de ses parents.
NE TOMBONS PAS DANS LE PIÈGE QUI NOUS EST TENDU !
Ne soyons pas naïfs ! Macron, qui ne pense déjà plus qu’à sa réélection, a une stratégie très claire pour 2022. En faisant comme Hollande, c’est –à-dire en agitant en toute occasion le chiffon rouge : entourage personnel peuplé de maghrébins musulmans et d’Africains agressifs, promotion des homosexuels blacks invités à venir tortiller du c.. à l’Elysée, renforcement en nombre et consolidation juridique de l’immigration massive, bienveillance envers les criminels de couleur. Il cherche ainsi à faire remonter l’extrême droite pour ensuite faire appel à la « discipline républicaine ». « En même temps », il aura, comme le fit Hollande avec Fillon, organisé l’élimination de ses concurrents de droite par la cellule élyséenne du général Bio-Farina, déjà à l’œuvre quand Hollande lui demanda de « tuer Sarkozy » par une accumulation d’accusations généralement non fondées et se terminant par des « non lieu », mais après que la presse subventionnée ait longuement glosé dessus afin que les Français soient convaincus qu’il n’y a pas de fumée sans feu.
LE “FRONT DES PATRIOTES”
Or, c’est bien la stratégie inverse qui doit être la notre, si nous voulons nous débarrasser une fois pour toutes de la clique d’incapables et de traîtres actuellement au pouvoir ! Créer un « Front des Patriotes », incluant tous ceux (et ils sont nombreux) qui militent pour une large alliance à droite et contrer ainsi le « Front Républicain », machine à perdre que le pouvoir cherche désespérément à ressusciter. Naturellement, il s’agira aussi de veiller à dénoncer et exclure de ce « Front des Patriotes » tous ceux, où qu’ils soient, qui refuseront d’emblée et par avance toute alliance, se rangeant ainsi dans le clan des idiots utiles de la clique écolo-socialiste et de ses alliés communistes.
Tel est, chers compatriotes, notre sentiment – et nous l’espérons le votre – sur la ligne politique qui nous semble nécessaire pour reprendre définitivement le pouvoir à ceux qui ont confisqué notre Patrie.
Vive la France !
(1) Le journaliste qui interviewait Castro, S. Goldberg, lui-même connu pour ses opinions marxistes, a vite zappé, passant à un autre sujet (la guerre israélo-palestinienne), ne laissant pas à Castro le temps d’expliquer sa phrase révolutionnaire : « le socialisme ça ne marche pas ». C’est donc Granma, le journal du parti communiste cubain qui a donné l’explication : le socialisme réel crée inéluctablement la misère et l’oppression, les exemples historiques sont nombreux et l’on ne trouve aucune exception, il faut donc en sortir. Pour commencer, la première des mesures prises par le gouvernement cubain pour enrayer la dérive vers toujours plus de misère du peuple cubain a été de recycler 600.000 fonctionnaires qui ont eu le choix entre trouver un métier productif ou rester dans l’administration avec un statut de droit privé. Cette mesure a bien été accueillie par le peuple cubain depuis longtemps écœuré par l’inégalité créée par le socialisme entre les fonctionnaires et les travailleurs. Depuis que Cuba sort doucement du socialisme, la liberté revient passeports, etc.), l’égalité entre les Cubains est rétablie même si des disparités entre riches fonctionnaires et peuple subsistent encore, et la prospérité est de retour.